dimanche 2 janvier 2022

Bonne année ?

 

dimanche 2 janvier 2022

 

            Bonne année ?

 

Non, pas vraiment. Enfin si, allez, on peut souhaiter que ça aille mieux. D’abord parce que même certains médias « mainstream » commencent à ouvrir les yeux sur la réalité de la pandémie. Quelques vrais scientifiques osent même se féliciter de l’apparition du variant Omicron, très contagieux mais bien peu dangereux, qui indiquerait, comme il fallait s’y attendre, le bout du tunnel de la pandémie. Il faudrait même, selon eux, faciliter sa circulation pour stimuler l’immunité naturelle des populations, bien meilleur rempart à long terme que les traitements expérimentaux dont nos autorités font la promotion incessante.

            Mais chez nous, Clustex, Véreux, Défraichi et consorts (pardon, traduisez : Castex, Véran et Delfraissy) ne l’entendent pas de cette oreille. Comment remettre en cause aussi vite la religion vaccinale mise en place avec autant de facilité et de fanatisme dans le pays des Droits de l’Homme ? Une seule solution, nous dit-on : encore et toujours plus de vaccination, et uniquement Pfizer ou Moderna s’il vous plaît ! Les injections perdent en efficacité très rapidement ? On s’en fout, retournez vous faire piquer ! Effets secondaire ? Y’en a pas, circulez ! La France est un des pays au monde où les autorités sont les plus fanatiques en ce domaine, et où l’on serine à longueur de temps que les hôpitaux sont surchargés par la seule faute des non-vaccinés, désignés comme des monstres. Même nos plus brillants philosophes de plateau, comme Raphaël Enthoven, en deviennent grossiers et stupides, chiens aboyeurs parmi tant d’autres au service leurs maîtres. Il faut aller au Canada pour trouver aussi con, avec Justin Trudeau lui-même qui se permet de traiter les non-vaccinés de racistes et de misogynes.

            Pour ses fous furieux, le temps presse. Bientôt, le Covid-19 aura cessé de faire peur, il faut donc pousser les feux pour « traiter » le maximum de monde, du premier nouveau-né jusqu’au dernier vieillard. Est-ce seulement pour justifier la commande d’énormes stocks de vaccins Pfizer dont la date de péremption approche ? Ou autre chose ?

            Finissons en chanson, inspirés par les dernières mesures sanitaires stupides du gouvernement (avec mes hommages à Michel Berger et France Gall) :

 

Il prenait son café debout,

C’est peut-être un détail pour vous,

Mais pour moi ça veut dire beaucoup,

Ça veut dire qu’il était libre,

Heureux d’être là malgré tout !

Quand les trouillards sont à genoux

Et les soldats au garde à vous,

Simplement sur ses deux pieds

Il voulait être lui, vous comprenez !

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