mercredi 17 mars 2021

Megan, Napoléon et les autres

 

mercredi 17 mars 2021

 

            Covid : putain, un an !

 

Mais ça se fête, quand même, un truc pareil ! Jamais je n’aurais cru celui qui m’aurait dit, il, y a un an, que tout ce cirque allait durer jusque-là. Et un an plus tard, je reste toujours aussi circonspect, si ce n’est abasourdi, par la situation dans laquelle nous sommes. Un pays qui a perdu une bonne part de ses attraits (bars, restaurants, spectacles, activités sportives), un gouvernement qui navigue à vue, des citoyens infantilisés et fliqués comme jamais depuis l’occupation, des jeunes angoissés par un avenir plombé. Et tout ça pour un bête virus, létal à moins de 1%. Bien sûr, me dira-t-on, tu chanterais une autre chanson si tu l’avais chopé sous une forme grave, ou si des proches, etc…Certes. Mais comment accepte-t-on, alors, les effets de la pollution, des accidents de la route et tous ces fléaux dont les victimes encombrent aussi les hôpitaux ? Sans être grand diplômé de philosophie, il me semble quand même que pour profiter de la vie, il faut aussi accepter l’idée de la mort.

 

Megan et Harry : pauvres petits jeunes riches.

 

Ils sont l’incarnation de ce que je hais : des jeunes gens à qui la vie a tout donné sans qu’ils aient jamais vraiment bossé de leur vie, qui se font payer des millions de dollars pour une interview d’Oprah Winfrey, vivent dans le luxe aux Etats-Unis, et crachent sur ceux qui les ont nourri en usant des plus grosses ficelles du politiquement correct.

Megan Markle, petite garce arriviste, pleurnichant sur le racisme dont elle aurait été victime au sein de la Cour d’Angleterre, alors qu’elle y a été fort bien accueillie. Souvenons-nous quand même de ce mariage somptueux, de cet évêque anglican noir venu à sa demande sermonner l’assistance majoritairement blanche sur le thème du passé esclavagiste et raciste de l’Angleterre. Albion avait baissé pantalon, croyant bien faire. Elle l’a maintenant dans le fion. Harry, qui n’est prince que par la naissance, mais certainement pas par l’esprit, envoûté qu’il est par sa femme comme Edouard VIII le fut par Wallis Simpson, démontre définitivement qu’il n’était pas digne de son titre et qu’il a bien fait d’y renoncer.

Pauvre reine Elizabeth ! Elle aura décidément vu beaucoup de choses pénibles au cours de son long règne. Plus que jamais, je l’admire et je la plains, elle. God Save the Queen !

 

            Bicentenaire de Napoléon.

 

Encore une preuve de la décadence morale de notre pays. La célébration du bicentenaire de la mort de l’un de nos plus grands hommes (pour moi, le plus grand), se fera donc dans la discrétion pour ne choquer personne. Grande est la pitié du royaume de France, comme dirait l’autre ! Mais je préfère encore que Macron laisse tranquille le grand Bonaparte, au lieu de salir sa mémoire par je ne sais quelle récupération tambouille consensuelle dont il a le secret.

 

           

 

 

Suggestion de noms consensuels pour des rues, des places, des monuments.

 

Tchoupi : créature transgénique noire et blanche, sorte de pingouin humanoïde. Jamais violent, il aime son papa et sa maman. Un pied de nez au spécisme.

Petit Ours Brun : ses « aventures » sont à peu près aussi inoffensives que celles de Tchoupi (ce sont à peu près les mêmes, d’ailleurs). Enfin un héros racisé par une couleur fièrement portée dans son nom même !

Casimir : un monstre gentil, incarnant l’obésité sympathique. L’Autre dans toute sa bonté généreuse, limite un peu niaise. Mais c’est comme ça qu’on l’aime, avouons-le.

Mimi Cracra : une fille, mais qui n’a aucune des vertus prêtés au genre féminin par notre culture patriarcale réactionnaire. Turbulente, sale…une enfant « nature », quoi !

Fantômette : encore une fille, mais d’une classe supérieure. Ses ennemis sont des méchants  mâles blancs (le Furet et consorts), dont elle déjoue les plans à chaque épisode. A purger toutefois, les acolytes de l’héroïne : la grosse Boulotte et la grande Ficelle, aussi bêtes que ridicules (on voit que l’auteur était un mâle blanc pétri de sexisme).

            Et on peut continuer comme ça : Oui-Oui, Kirikou (et la sorcière), etc…

 

            Pourquoi il faut dissoudre l’Unef.

 

Je me joins ici à l’appel de Greg Toussaint : oui, il faut dissoudre ce prétendu syndicat étudiant, qui n’est plus que l’ombre de celui que j’ai connu dans ma jeunesse, et qui est maintenant totalement gangrené par l’islamo-gauchisme. Un syndicat qui soutient la mise au pilori de professeurs et d’étudiants qui lui déplaisent (comme à Grenoble), les exposant ainsi aux menaces de mort des barbus ; un syndicat qui s’associe à des stages interdits aux non-Blancs ou aux hommes (donc raciste et sexiste) ; un syndicat dont l’ancienne vice-présidente (déplacée, mais pas virée depuis), se réjouissait de l’incendie de Notre-Dame de Paris et appelait à « gazer les Blancs »…n’en jetez plus ! On interdit Génération Identitaire et on laisse ces furieux agir en toute impunité ? Soyons logiques. Mais le courage, hélas…

 

            Césars de merde.

 

Je n’ai pas vu la cérémonie, mais les extraits et commentaires m’ont suffi. Pantalonnade grotesque de l’une, sketch douteux d’un autre en faveur de la Cancel Culture, politiquement correct à tous les étages. Tout ce petit monde intello-histrionesque me dégoûte.

 

            Assa Traoré et sa sœur bousculée.

 

Venue faire de l’agit-prop devant l’Odéon, intersectionnalité des luttes oblige, Assa Traoré et sa frangine ont été prises à parti par des gaillards en survêt’ tricolore. Belle occasion pour les pasionarias de la « cause noire » de pousser des hurlements hystériques devant les caméras. Même si ce n’est pas trop fin, merci, les gars, d’avoir dit tout haut ce que nous sommes nombreux à penser tout bas : « Retourne au Mali, connasse ! » Oh, zut, je l’ai dit aussi…

 

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