dimanche 12 juin 2022

Panique en Macronie ?

 

Vendredi 10 juin 2022


Troublante disparition.


Comme c’est ballot ! La justice française a laissé passer le délai de sept jours au-delà duquel les images prises par les caméras du Stade de France doivent être détruites. Mais n’ayez crainte, nous dit le bon préfet Lallement, celles prises par la préfecture de police seront à la disposition des enquêteurs. On y verra sûrement des gens agressés par des faux billets, ou des femmes harcelées par des supporters espagnols et britanniques en rut.


Le Petit Prince se lance dans la bagarre.


Panique en Macronie ? Les sondages donnant la Nupes fort bien placée au premier tour des législatives, le Petit Prince doit mouiller le maillot et ordonne à sa clique de monter au créneau pour bombarder l’affreux Méluche. « Un psychopathe au programme dangereux », voilà en gros l’idée générale. Après le péril brun, le péril rouge. Captain Macron n’a pas peur des coups de barre : un coup de séduction à gauche, un coup de menton à droite. Car il y va de « nos valeurs », non mais !

Rions-en quand même avec ce petit test : « Macron, Méluche, ou les deux ? »

1) Il préfère parler de la République que de la France.

2) Il a dit à une femme : « vous êtes voilée et féministe ? J’ai envie de vous faire la bise ! »

3) Il aime bien récupérer l’Histoire à son profit.

4) Sans lui, son mouvement n’est plus rien.

5) Il nous promet monts et merveilles.

6) Il ne fait pas un tabac chez les ouvriers.

7) C’est le chouchou des grands patrons.

8) « La République, c’est lui ».

9) Il voit des fachos partout, sauf là où ils sont vraiment.

10) Comme De Gaulle en son temps, il a laissé la culture à la gauche.


Réponses :

1) les deux

2) Macron (mais Méluche n’en pense pas moins)

3) à 6) : les deux

7) Macron

8) Méluche (mais Macron n’en pense pas moins)

9) les deux

10) Macron (et comme De Gaulle, il a fait une belle connerie).


La fin du moteur thermique en 2035 ?


C’est en tout cas ce qu’a voté le Parlement européen, démontrant ainsi son ignorance crasse des réalités énergétiques, écologiques, sociales et économiques. Une décision aussi stupide laisse pantois, et démontre une fois de plus que la majorité de nos « représentants » ne représentent qu’eux-mêmes, une petite caste de bobos déconnectés des peuples. Certes, les parlements nationaux pourront toujours retoquer cette bêtise, mais le nôtre en aura-t-il les couilles ?



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