Après l’avoir dévoré, il m’a fallu trouver une place dans ma bibliothèque pour le dernier ouvrage de François Bayrou, Abus de pouvoir. Je l’ai finalement rangé dans la catégorie « essais politique », sous-catégorie : « coups de gueules et rebelles dans lesquels je me reconnais », où il côtoie désormais Jean-Pierre Chevènement, Alain Soral (Jusqu’où va-t-on descendre ?) et quelques ouvrages drolatiques d’Antilogus et Trétiack (Bienvenue à l’Armée rouge, SOS élections, Bienvenue au président Jean-Marie)
Mon étagère étant pleine à ce niveau, j’ai dû déplacer trois autres bouquins qui m’ont été offerts par des esprits facétieux. J’ai créé pour eux une autre sous-catégorie d’essais politiques intitulée : « éructations d’infects politicards que l’on ne peut lire que par pur masochisme tellement on les hait ». On y trouve, dans l’ordre :
-Claude Allègre, futur ministre d’ouverture de la fausse gauche passée à droite : Toute vérité est bonne à dire.
-Nicolas Sarkozy : Ensemble.
-Patrick Devedjian : Penser la droite.
On peut aussi remanier le tout pour faire une phrase : « Penser la droite ensemble : toute vérité est bonne à dire ». Ces monuments de la pensée politique sont exposés dans une annexe de notre bibliothèque, à savoir la chambre d’amis. Nous sommes des hôtes exquis.
Elections, piège à cons.
La campagne européenne orchestrée par les autorités et les médias complices ont achevé de me convaincre que les prochaines élections européennes n’ont pas d’autre but que de constituer une sorte de référendum-bis sur la cote d’amour de l’UE, ou celle de Sarkozy.
Me considérant trahi par les grands partis politiques qui ont validé la forfaiture du Traité de Lisbonne, n’ayant aucune confiance en la capacité du parlement européen, qu’il soit de gauche, de droite ou du milieu, à faire une « autre Europe » que celle qu’on nous fait avaler depuis 51 ans, sachant enfin que les « commentateurs » ne fixeront leur attention que sur le taux de participation, je sais ce qu’il me reste à faire : M’ABSTENIR.
Pourtant, j’aimerais quand même donner sa chance au Front de Gauche…mais là, trop, c’est trop !
Mon étagère étant pleine à ce niveau, j’ai dû déplacer trois autres bouquins qui m’ont été offerts par des esprits facétieux. J’ai créé pour eux une autre sous-catégorie d’essais politiques intitulée : « éructations d’infects politicards que l’on ne peut lire que par pur masochisme tellement on les hait ». On y trouve, dans l’ordre :
-Claude Allègre, futur ministre d’ouverture de la fausse gauche passée à droite : Toute vérité est bonne à dire.
-Nicolas Sarkozy : Ensemble.
-Patrick Devedjian : Penser la droite.
On peut aussi remanier le tout pour faire une phrase : « Penser la droite ensemble : toute vérité est bonne à dire ». Ces monuments de la pensée politique sont exposés dans une annexe de notre bibliothèque, à savoir la chambre d’amis. Nous sommes des hôtes exquis.
Elections, piège à cons.
La campagne européenne orchestrée par les autorités et les médias complices ont achevé de me convaincre que les prochaines élections européennes n’ont pas d’autre but que de constituer une sorte de référendum-bis sur la cote d’amour de l’UE, ou celle de Sarkozy.
Me considérant trahi par les grands partis politiques qui ont validé la forfaiture du Traité de Lisbonne, n’ayant aucune confiance en la capacité du parlement européen, qu’il soit de gauche, de droite ou du milieu, à faire une « autre Europe » que celle qu’on nous fait avaler depuis 51 ans, sachant enfin que les « commentateurs » ne fixeront leur attention que sur le taux de participation, je sais ce qu’il me reste à faire : M’ABSTENIR.
Pourtant, j’aimerais quand même donner sa chance au Front de Gauche…mais là, trop, c’est trop !
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