lundi 26 juillet 2021
Encore un effort pour tuer la
liberté.
La
Ve République est un mort-vivant qui n’en finit plus de pourrir. Nos libertés
ont donc été enterrées hier soir à la suite d’un accord minable entre le Sénat
et l’Assemblée Nationale au sein de la commission mixte paritaire, permettant
le vote rapide de la loi Véran sur le passe sanitaire. Les socialistes, jamais en
reste d’une forfaiture, ont même proposé une vaccination obligatoire pour tous
les majeurs d’ici septembre. Mais cela aurait posé des problèmes juridiques,
car en cas de séquelles dues à l’injection d’un produits expérimental, sans « consentement
éclairé du patient », qui aurait été responsable ? Pas les labos,
puisque ceux-ci ont obtenu des autorités françaises et européennes, entre
autres fleurs, d’être déchargés à l’avance de toute poursuite. Nos courageux
politicards n’ont pas envie de trinquer seuls. Ce qui conforte aussi la thèse d’un
virus fabriqué en laboratoire, avec la complicité de nombreux décideurs aux
intérêts bien placés. Pas responsable, pas coupable : encore mieux que
Fabius et le sang contaminé ! Quand le pompier se fait pyromane, il assure
ses arrières.
Dans
certaines communes de Corse et de Normandie, les collabos sanitaires font du
zèle et ont même commencé à appliquer le passe dans la joie et la bonne humeur,
si l’on en croit les premières remontées diffusées hier soir au JT de M6,
dans un reportage sur les restaurateurs pionniers : « ça se passe très
bien, d’ailleurs déjà 80% de nos clients étaient déjà vaccinés (Evidemment,
Ducon, les autres évitent déjà d’aller chez toi !), et ceux que j’ai
refusés l’ont très bien pris. » Il paraît que près de 70% des Français
sont d’accord avec tout ça, que les manifestants ne sont qu’une poignée de
fachos et de débiles. Une manip’ de plus, ou le signe que nous n’avons finalement
que les dirigeants que nous méritons ?
Quels
recours maintenant pour les résistants ? Le Conseil Constitutionnel,
présidé par Fabius ? Je n’y crois guère. Il y aura d’autres manifs, qui
seront sûrement plus fortes encore en septembre quand tout le monde prendra
conscience du goulag sécuritaire dans lequel on les aura enfermés. Les routiers
annoncent une grande grève pour le 15 août. Les avocats préparent également une
bataille juridique, mais ce sera long, face à une affaire aussi difficile que
celles du sang contaminé, de l’amiante et du Mediator réunies, et des ennemis
aussi puissants que la quasi-totalité de la classe politique mondiale, des
firmes transnationales, des médias aux ordres et d’une intelligentsia pourrie
jusqu’à la moelle.
En
tout cas, c’est un précédent bien dangereux qui se constitue cet été. Au nom de
la sécurité et de la santé publique, avec la caution d’un « conseil
scientifique » censé incarner la Vérité et la Raison, les valeurs
républicaines et les libertés fondamentales sont écrasées.
Pourquoi
d’ailleurs, par la suite, ne pas en profiter pour aller plus loin ?
Partons d’un
constat scientifique : les détenus de nos prisons sont de culture
musulmane dans une proportion de 40 à 60% ; plus de 90 % des attentats
terroristes commis dans le monde le sont au nom de l’islam. Environ 80% des
conflits mondiaux sont en rapport avec l’islam ou impliquent des pays
musulmans. Or, le pourcentage de musulmans en France serait d’environ 12%, et
de 22 à 25% dans le Monde. Conclusion logique : si tous les musulmans ne
sont pas des criminels ou des terroristes, leur religion est de toute évidence
un facteur pathogène.
Une pathologie
contagieuse par ailleurs, puisque les effectifs de cette religion ne cessent de
progresser, par reproduction massive ou conversion.
Les Chinois l’ont
déjà bien compris. Ce pays, dont on est en train de gentiment copier le « permis
citoyen », a déjà commencé à mettre au pas les éléments infectés par le
virus islamique dans la région du XinJiang. Ils appliquent ainsi le précepte du
docteur Knock : « tout patient bien portant est un malade qui s’ignore ».
Ainsi, votre gentil voisin musulman peut s’avérer du jour au lendemain un
assassin incontrôlable. Peut-on courir ce risque, au nom de valeurs désuètes
telles que la liberté de conscience, le droit d’aller et venir, etc ?
Il conviendrait donc d’appliquer les
mesures sanitaires suivantes :
-interdire l’entrée
en France de toute personne identifiée comme musulmane.
-fermer toutes les
mosquées, restaurants kebab et bars à chicha, véritables clusters du virus
islamique.
-interdire aux
musulmans déjà en France de fréquenter les lieux publics, restaurants, cinémas,
stades et écoles.
-leur
circulation doit être limitée aux seules nécessités professionnelles, en
attendant de leur retirer leur emploi. On peut envisager à cette fin des bus, des
rames de trams et de métros spécifiques. Bien entendu, les permis de conduire
leur seront retirés afin de limiter les risques d’attentats à la voiture ou au
camion.
-ils devront
être assignés à résidence dans des quartiers spécifiques, de préférence ceux de
banlieues où ils sont déjà nombreux, et qu’il faudra entourer de murs.
Mais
contrairement aux Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, une solution
humaine leur sera offerte pour retrouver une vie normale, car il ne s’agit pas
de les exterminer. Il leur faudra, comme tous les Français, disposer d’un passe
anti-islam, téléchargeable sur téléphone mobile. Les conditions pour l’obtenir
seront les suivantes :
-enregistrer
devant témoins et sur vidéo leur renonciation formelle à la religion du Prophète.
-le confirmer
par des tests réguliers effectués dans des centres agréés par la préfecture et
le Ministère des Cultes, tests comprenant :
-un
repas complet avec charcuterie, côtes de porc et alcools variés. Tout le reste
étant garanti « non halal », une pratique par ailleurs interdite en France
dans tous les abattoirs.
-une
lecture à haute voix de quelques passages des Versets sataniques de Salman Rushdie.
-un
visionnage des caricatures les plus obscènes du prophète Mahomet.
-la
répétition, douze fois de suite, de la phrase suivante : « le Coran
est un tissu de conneries. »
Et
ainsi, tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes !
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